Vignette du laboratoire IP2I représentant le détecteur à muons CMS

Institut de Physique des deux Infinis de Lyon (IP2I Lyon)

VILLEURBANNE CEDEX

L’IP2I mène des recherches au carrefour de deux infinis, allant de l’étude des composants élémentaires de la matière – l’infiniment petit – à l’exploration du cosmos – l’infiniment grand. Sa plateforme nationale de recherche, le laboratoire des matériaux avancés (LMA), est expert mondial dans le dépôt de couches optiques ultraminces ayant permis la découverte des ondes gravitationnelles.

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et des collaborateurs. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, Jacques Marteau a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et des collaborateurs
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Inspection visuelle finale des connecteurs des fibres optiques du détecteur de muons, par Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De…

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Inspection visuelle finale des connecteurs des fibres optiques d'un détecteur de muons
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et un collaborateur. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, Jacques Marteau a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et un collaborateur
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et un collaborateur. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, Jacques Marteau a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et un collaborateur
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et un collaborateur. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, Jacques Marteau a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022, et un collaborateur
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Jacques Marteau est lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022. Maître de conférences à l’Institut de physique des deux infinis de Lyon, il a identifié le potentiel d’une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le détecteur de muons. Particule élémentaire produite naturellement dans l’atmosphère, le muon traverse la matière sur de longues distances sans être absorbé. De quoi explorer en trois dimensions de grandes structures et répondre à des questions de…

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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'Innovation du CNRS 2022
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Attention image soumise à restrictions nous contacter

Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2022 à l'origine de la start-up Muodim, et Jean-Christophe Ianigro, collaborateur de l’Institut de physique des 2 infinis de Lyon (IP2I-Lyon) et de Muodim, vérifient le système électronique du trajectographe à muons, avant son expédition en Islande. Avant tout envoi sur le terrain, ce détecteur de muons est testé et calibré à l’IP2I-Lyon. Le système électronique est démonté et remonté pour tester l’ensemble des contacts, connexions…

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Vérification du système électronique du trajectographe à muons, avant son envoi en Islande
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2022 à l'origine de la start-up Muodim, et Jean-Christophe Ianigro, collaborateur de l’Institut de physique des 2 infinis de Lyon (IP2I-Lyon) et de Muodim, déposent le bardage de plomb permettant de filtrer les particules sur le trajectographe à muons, avant son expédition en Islande. Avant tout envoi sur le terrain, ce détecteur de muons est assemblé, testé et calibré à l’IP2I-Lyon. La muographie est une technique innovante d…

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Démontage du trajectographe à muons avant son envoi en Islande
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Vérification du système électronique du trajectographe à muons, avant son expédition en Islande. Avant tout envoi sur le terrain, ce détecteur de muons est testé et calibré à l’Institut de physique des 2 infinis de Lyon (IP2I-Lyon). Le système électronique est démonté et remonté pour tester l’ensemble des contacts, connexions et configurations. La muographie est une technique innovante d’imagerie révélant l’intérieur des structures. Elle utilise les muons, des particules produites naturellement…

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Vérification du système électronique du trajectographe à muons, avant son envoi en Islande
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Collage des fibres optiques (vertes) au sein des lattes du scintillateur plastique du trajectographe à muons (blanches). Le fonctionnement de ce détecteur à muons s'appuie sur la scintillation : les muons, particules élémentaires produites naturellement dans l’atmosphère, sont détectés par la lumière qu’ils induisent dans les lattes. La muographie est une technique innovante d’imagerie révélant l’intérieur des structures. Comme les muons traversent la matière sur des épaisseurs plus ou moins…

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Collage des fibres optiques du scintillateur plastique du trajectographe à muons
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Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

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Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

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Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la BioCam depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Grâce à ses deux caméras intelligentes, cet appareil est capable d’observer la bioluminescence émise par les organismes marins et de les reconstruire en trois dimensions. Il est installé sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, avec plusieurs autres dispositifs : un sismographe, un spectromètre gamma, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le rover sous-marin…

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Mise à l’eau de la BioCam depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Détecteurs de l'expérience CMS dans sa configuration ouverte, permettant un accès au cœur du détecteur lors de l'arrêt prolongé de l'accélérateur LHC. Le Solénoïde compact pour muons (CMS) est un détecteur polyvalent installé sur l’anneau du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il repose sur un aimant solénoïde géant pour incurver les trajectoires des particules produites lors des collisions dans le LHC. CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées…

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Détecteurs de l'expérience CMS dans sa configuration ouverte
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Maintenance en cours sur les détecteurs à muons de l'expérience CMS lors de l'arrêt prolongé de l'accélérateur LHC. Le Solénoïde compact pour muons (CMS) est un détecteur polyvalent installé sur l’anneau du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il repose sur un aimant solénoïde géant pour incurver les trajectoires des particules produites lors des collisions dans le LHC. CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées par le LHC. Il permet de détecter…

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Maintenance en cours sur les détecteurs à muons de l'expérience CMS
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Tronçonneuse rapide pour la découpe de barres pleines en aluminium. Elle permet une découpe précise et apporte une excellente qualité de coupe. Elle est utilisée pour la construction des ensembles elcom / item du type châssis, utilisés dans diverses manipulations. Ils sont construits à l'aide de profilés spécifiques, en aluminium, modulables à souhait selon les exigences des laboratoires. Atelier de chaudronnerie de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL).

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Tronçonneuse rapide pour la découpe de barres pleines en aluminium. Elle permet une découpe précise
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Barres d'acier s'emboîtant à la manière d'un jeu de Meccano, à l'atelier de chaudronnerie de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL). Pour la réalisation des plateformes expérimentales, le personnel de l'atelier privilégie des structures d'aluminium totalement modulables aux assemblages mécano-soudés en acier. Adaptables à volonté, ces modules laissent une grande liberté d'action aux ingénieurs et aux physiciens qui peuvent intégrer de nouveaux éléments électromécaniques jusqu'à l…

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Barres d'acier s'emboîtant à la manière d'un jeu de Meccano, à l'atelier de chaudronnerie de l'Insti
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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est responsable de l'atelier de chaudronnerie de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL). Sur cette pièce, il a réalisé une ouverture supplémentaire pour l'accélérateur de protons. Il a fait des points de soudure grâce à une technique de soudage appelée TIG (Tungsten Inert Gas). Elle repose sur l'utilisation d'un arc électrique (étincelle pilote) enrobé d'un flux d'argon. Cela assure une…

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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est resp
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Thierry Alliaume découpe manuellement un tube en inox, avant usinage. Ce tube s'emboîte ensuite à la manière d'un jeu de Meccano. Thierry Alliaume est responsable de l'atelier de chaudronnerie de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL). Pour la réalisation des plateformes expérimentales, il privilégie des structures d'aluminium totalement modulables aux assemblages mécano-soudés en acier. Adaptables à volonté, ces modules laissent une grande liberté d'action aux ingénieurs et aux…

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Thierry Alliaume découpe manuellement un tube en inox, avant usinage. Ce tube s'emboîte ensuite à la
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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est responsable de l'atelier de chaudronnerie de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL). Sur cette pièce, il a réalisé une ouverture supplémentaire pour l'accélérateur de protons. Il s'apprête ici à faire des points de soudure grâce à une technique de soudage appelée TIG (Tungsten Inert Gas). Elle repose sur l'utilisation d'un arc électrique (étincelle pilote) enrobé d'un flux d'argon. Cela…

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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est resp
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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est responsable de l'atelier de chaudronnerie de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL). Sur cette pièce, il a réalisé une ouverture supplémentaire pour l'accélérateur de protons. Il fait ici des points de soudure grâce à une technique de soudage appelée TIG (Tungsten Inert Gas). Elle repose sur l'utilisation d'un arc électrique (étincelle pilote) enrobé d'un flux d'argon. Cela assure une…

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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est resp
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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est responsable de l'atelier de chaudronnerie de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL). Sur cette pièce, il a réalisé une ouverture supplémentaire pour l'accélérateur de protons. Il fait ici des points de soudure grâce à une technique de soudage appelée TIG (Tungsten Inert Gas). Elle repose sur l'utilisation d'un arc électrique (étincelle pilote) enrobé d'un flux d'argon. Cela assure une…

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Thierry Alliaume parachève un couvercle en acier inoxydable percé de plusieurs orifices. Il est resp
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Four à haute température pour recuire les cibles, qui sont ensuite analysées par l'accélérateur 4 mégaélectron-volt (MeV), laboratoire du groupe A.C.E (Aval du cycle électron-nucléaire) de l'Institut de physique nucléaire de Lyon (IPNL). Thierry Alliaume, responsable de l'atelier de chaudronnerie, a construit un support elcom / item pour ce four et pour les groupes de pompage. Il a également effectué des travaux de soudure pour certaines pièces d'adaptation.

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Four à haute température pour recuire les cibles, qui sont ensuite analysées par l'accélérateur 4 mé
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Système d'acquisition du trajectographe de l'expérience OPERA. Au terme de trois ans d'analyses complexes, l'expérience OPERA dédiée à l'observation - depuis le laboratoire INFN du Gran Sasso (Italie) - du faisceau de neutrinos CNGS en provenance du CERN, à 730 km de distance a permis de conclure que les neutrinos parvenaient à destination plus rapidement que prévu. D'après les calculs, les neutrinos ont en effet 60 nanosecondes d'avance sur les 2,4 millisecondes qui devraient leur être…

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Système d'acquisition du trajectographe de l'expérience OPERA
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Dario Autiero à l'IPNL, Lyon, septembre 2011. Au terme de trois ans d'analyses complexes, l'expérience OPERA dédiée à l'observation - depuis le laboratoire INFN du Gran Sasso (Italie) - du faisceau de neutrinos CNGS en provenance du CERN, à 730 km de distance a permis de conclure que les neutrinos parvenaient à destination plus rapidement que prévu. D'après les calculs, les neutrinos ont en effet 60 nanosecondes d'avance sur les 2,4 millisecondes qui devraient leur être nécessaires pour…

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Dario Autiero à l'IPNL, Lyon, septembre 2011

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.