Patrick Dumas

Patrick DUMAS

Toulouse

As a generalist photographer specialising in scientific reports, he creates portraits, work environments, graphic and symbolic images, to highlight the work of these researchers, who are so competent and endearing. Thanks to them, he travels to wonderful and exciting places.

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Aimant dipolaire (en bleu à gauche) et différents plans de détection du spectromètre à muons de l'expérience ALICE (A Large Ion Collider Experiment). Le tube à faisceau du Grand collisionneur de hadrons (LHC) passe au milieu du cylindre visible au centre. ALICE est un détecteur d’ions lourds installé sur l’anneau du LHC. Il étudie le plasma de quarks et de gluons, un état de la matière qui aurait existé juste après le Big Bang.

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Aimant dipolaire et différents plans de détection du spectromètre à muons de l'expérience ALICE
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Expérience ALICE (A Large Ion Collider Experiment). Les deux grandes portes de l'aimant solénoïdal "L3" (en rouge) sont ouvertes afin de permettre les interventions de grande envergure et les améliorations prévues durant le second long arrêt technique du Grand collisionneur de hadrons (LHC). ALICE est un détecteur d’ions lourds installé sur l’anneau du LHC. Il étudie le plasma de quarks et de gluons, un état de la matière qui aurait existé juste après le Big Bang.

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Expérience ALICE
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Détecteurs de l'expérience CMS dans sa configuration ouverte, permettant un accès au cœur du détecteur lors de l'arrêt prolongé de l'accélérateur LHC. Le Solénoïde compact pour muons (CMS) est un détecteur polyvalent installé sur l’anneau du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il repose sur un aimant solénoïde géant pour incurver les trajectoires des particules produites lors des collisions dans le LHC. CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées…

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Détecteurs de l'expérience CMS dans sa configuration ouverte
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Maintenance en cours sur les détecteurs à muons de l'expérience CMS lors de l'arrêt prolongé de l'accélérateur LHC. Le Solénoïde compact pour muons (CMS) est un détecteur polyvalent installé sur l’anneau du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il repose sur un aimant solénoïde géant pour incurver les trajectoires des particules produites lors des collisions dans le LHC. CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées par le LHC. Il permet de détecter…

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Maintenance en cours sur les détecteurs à muons de l'expérience CMS
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Paniers de cartes électroniques du système de lecture du calorimètre électromagnétique à argon liquide de l'expérience ATLAS. Les diodes témoins du bon fonctionnement des cartes sont au vert. ATLAS est l’un des deux détecteurs polyvalents du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il étudie des domaines de physique très variés, de la recherche du boson de Higgs aux dimensions supplémentaires de l’espace-temps, en passant par les particules qui pourraient former la matière noire.

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Paniers de cartes électroniques du système de lecture du calorimètre électromagnétique
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Travail sur un boîtier électronique du détecteur à fibres scintillantes (SciFi) de l'expérience LHCb, qui permet de lire 1024 voies. LHCb est un détecteur du Grand collisionneur de hadrons (LHC), conçu pour étudier les légères asymétries entre matière et antimatière, à partir de particules connues sous le nom de quarks de beauté ou quark b.

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Travail sur un boîtier électronique du détecteur à fibres scintillantes de l'expérience LHCb
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Expérience ATLAS : intervention sur le système de lecture du calorimètre hadronique à tuiles (partie tonneau, en bleu). Au premier plan, les tuyaux cryogéniques qui apportent l'argon liquide jusqu'au calorimètre électromagnétique. ATLAS est l’un des deux détecteurs polyvalents du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il étudie des domaines de physique très variés, de la recherche du boson de Higgs aux dimensions supplémentaires de l’espace-temps, en passant par les particules qui pourraient…

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Expérience ATLAS : intervention sur le système de lecture du calorimètre hadronique à tuiles
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Expérience ATLAS : chambres bouchons de détection des muons sur la gauche et bâti de transport du calorimètre bouchon (en orange). ATLAS est l’un des deux détecteurs polyvalents du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il étudie des domaines de physique très variés, de la recherche du boson de Higgs aux dimensions supplémentaires de l’espace-temps, en passant par les particules qui pourraient former la matière noire.

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ATLAS : chambres bouchons de détection des muons et bâti de transport du calorimètre bouchon
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Test final d'un boîtier électronique du détecteur à fibres scintillantes (SciFi) de l'expérience LHcb, sur son banc de mesures dédié après son assemblage et avant son installation sur le détecteur. Le LHCb est un détecteur du Grand collisionneur de hadrons (LHC), conçu pour étudier les légères asymétries entre matière et antimatière, à partir de particules connues sous le nom de quarks de beauté ou quark b.

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Test final d'un boîtier électronique du détecteur à fibres scintillantes de l'expérience LHcb
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Installation de cartes électroniques pour le système de lecture du calorimètre électromagnétique à argon liquide de l'expérience ATLAS et de son amélioration pour la prochaine campagne de prise de données. Une partie du cryostat bouchon du calorimètre est visible avec plusieurs paniers de cartes électroniques de son système de lecture. La post-doctorante porte un morceau de carte électronique fond de panier. ATLAS est l’un des deux détecteurs polyvalents du Grand collisionneur de hadrons (LHC)…

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Installation de cartes électroniques pour l'expérience ATLAS
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Mise en place d'un boîtier électronique sur la partie basse d'un module du détecteur à fibres scintillantes (SciFi) de l'expérience LHCb. Le détecteur comprend un total de 256 boîtiers. Le LHCb est un détecteur du Grand collisionneur de hadrons (LHC), conçu pour étudier les légères asymétries entre matière et antimatière, à partir de particules connues sous le nom de quarks de beauté ou quark b.

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Boîtier électronique mis en place sur un module du détecteur à fibres scintillantes du LHCb
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Chambres bouchons de détection des muons vues depuis l'arrière du système de calorimétrie de l'expérience ATLAS. ATLAS est l’un des deux détecteurs polyvalents du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il étudie des domaines de physique très variés, de la recherche du boson de Higgs aux dimensions supplémentaires de l’espace-temps, en passant par les particules qui pourraient former la matière noire.

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Chambres bouchons de détection des muons
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Irakli Mandjavidze, ingénieur électronique au CEA à Saclay (Irfu). Conception d'une carte électronique de sélection d'événements en temps réel et d'acquisition de données à haut débit. "Un repas entre collègues, après une journée harassante sur NA48, a permis d'imaginer "Niagara" : une solution élégante et très performante pour améliorer le débit de la collecte des données et des décisions du système de déclenchement. Nous avons gribouillé cette nouvelle version sur un bout de nappe pour la…

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Irakli Mandjavidze, ingénieur électronique au CEA à Saclay (Irfu)
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Hans Gutbrod, professeur à L'Ecole des Mines de Nantes, physicien des particules et porte-parole adjoint de l'expérience Alice du LHC de 1994 à 2001. Le détecteur Alice du LHC en 2014. "Je garde un souvenir extraordinaire du Cern, qui a jalonné ma vie de physicien. J'y ai conçu les premières expériences sur la physique relativiste des ions lourds, sujet qui m'a passionné tout au long de ma carrière. Mais les expériences ont bien changé. En 1983, nous étions 24 personnes proposant les ions…

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Hans Gutbrod, professeur à L'Ecole des Mines de Nantes, physicien des particules
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Robert Chadelas, ingénieur en électronique au CNRS à Clermont-Ferrand (LPC). Cartes de distribution de hautes tensions en attente de calibration. "Mon travail est de concevoir et réaliser quelques-uns des circuits électroniques parmi les millions nécessaires aux physiciens pour la détection de leurs particules. Je suis fier d'apporter ma touche, discrète mais essentielle, aux grandes œuvres que constituent ces détecteurs formidables."

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Robert Chadelas, ingénieur en électronique au CNRS à Clermont-Ferrand (LPC)
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Louis Kluberg, chercheur CNRS à Palaiseau (LLR), physicien des particules. Gargamelle, une chambre à bulles en fonctionnement au Cern de 1970 à 1978. "Fraîchement sorti de ma thèse, ma plongée initiatique dans le grand bain des chambres à bulles m'a ouvert la porte d'une aventure collective passionnante, la découverte des courants neutres dans Gargamelle. Plus tard, avec les expériences NA38 puis NA50 auprès du SPS, nous avons pu, après quinze années d'efforts ininterrompus, observer l…

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Louis Kluberg, chercheur CNRS à Palaiseau (LLR), physicien des particules
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Philippe Dambre, ingénieur accélérateurs au CNRS à Orsay (IPNO). Face arrière d'un des 392 quadrupôles du LHC conçus en France. "Imaginez un courant de 12 000 ampères à faire passer dans la plus petite section possible, à 271,25°C ! C'est ce qui se produit dans les quadrupôles supraconducteurs qui guident et concentrent les faisceaux du LHC dans l'anneau. Grâce à l'expérience et la "culture accélérateurs" de mon laboratoire à Orsay, j'ai participé à la construction de ces cryostats qui forment…

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Philippe Dambre, ingénieur accélérateurs au CNRS à Orsay (IPNO)
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Alessandro Variola, ingénieur accélérateurs au CNRS à Orsay (LAL). Vue d'une partie du hall expérimental du Décélérateur d'antiprotons du Cern (AD). "En 2002, la concurrence avec les autres expériences qui cherchaient comme nous, dans Athena, à produire et détecter des atomes d'antihydrogène était très forte. Pour être le plus efficace possible, mes collègues et moi-même nous sommes organisés en trois-huit pendant tout l'été. Nous changions de créneaux horaires toutes les semaines, ce qui fait…

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Alessandro Variola, ingénieur accélérateurs au CNRS à Orsay (LAL)
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Alain Maroni, ingénieur mécanicien au CNRS à Orsay (IPNO). Guides de lumière en polyméthacrylate de méthyle. "Je construis des détecteurs depuis l'âge de 17 ans. L'idéal pour un physicien serait que les 5000 fils que j'assemble dans une chambre de détection tiennent en l'air tout seuls, sans support autour ! Au Cern, j'ai trouvé ce que j'aime dans mon métier : le dépassement de soi, le défi technologique, jusqu'à devoir réaliser l'impossible. Le Cern est le "top" des accélérateurs mondiaux, un…

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Alain Maroni, ingénieur mécanicien au CNRS à Orsay (IPNO)
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Magali Damoiseaux, communicante scientifique et documentaliste au CNRS à Marseille (CPPM). Exposition grand public "Univers de particules" au Globe de la science et de l'innovation du Cern. "J'ai découvert le Cern avec émerveillement : un bouillon de culture, scientifique avec tous ces chercheurs qui échangent passionnément à propos de physique à la cafétéria, comme artistique avec des concerts de musique classique dans les amphithéâtres le soir. Pour la science comme pour la transmission des…

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Magali Damoiseaux, communicante et documentaliste au CNRS
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Fabienne Orsini, chercheuse au CEA à Saclay (Irfu), physicienne en instrumentation. Spectromètre à muons du détecteur Alice. "Pas question de rater le passage d'une seule particule ! Mon détecteur est une petite brique prototype du futur détecteur interne d'Alice : un détecteur de centaines de millions de pixels de 25 microns de côté. Ma mission : lui faire détecter toutes les particules sans en oublier aucune et tracer leurs trajectoires très précisément. Si mon détecteur échoue, c'est toute…

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Fabienne Orsini, chercheuse au CEA à Saclay (Irfu), physicienne en instrumentation
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David Lunney, chercheur au CNRS à Orsay (CSNSM), physicien nucléaire. Le Décélérateur d'antiprotons, site de la future installation Elena où l'expérience GBAR "pèsera" l'antimatière. "Avec nos expériences auprès d'Isolde, nous sommes devenus leaders dans la manipulation des particules et la préparation des faisceaux de noyaux exotiques avec des pièges à ions. Nous partageons maintenant ce savoir-faire avec les chercheurs du Décélérateur d'antiprotons au Cern, pour piéger d'autres espèces…

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David Lunney, chercheur au CNRS à Orsay (CSNSM), physicien nucléaire
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Isabelle Vauléon, administrative au CNRS à Orsay (LAL), responsable des missions. Dossiers administratifs au LAL à Orsay. "J'envoie des chercheurs dans le monde entier ! Beaucoup de missions de mon laboratoire s'effectuent au Cern que j'ai eu la chance de visiter en 2007. Tout y est surdimensionné : la taille des installations, l'énorme organisation que cette science nécessite. Depuis ce jour mémorable, la mention "mission au Cern" comme motif aux ordres de mission prend toute sa saveur. Je…

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Isabelle Vauléon, administrative au CNRS à Orsay (LAL)
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Patrick Nédélec, enseignant-chercheur à l'Université Claude Bernard Lyon 1 (IPNL), physicien des particules. Faisceau de protons de l'expérience Aegis. "Mon expérience cherche à comprendre l'effet de la gravité terrestre sur des atomes d'antihydrogène. La première étape consiste donc à les créer en quantité suffisante, grâce au Décélérateur d'antiprotons du Cern et à les piéger. Ensuite, nous les envoyons vers un filtre et nous n'avons plus qu'à les regarder 'tomber'. Une expérience de…

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Patrick Nédélec, enseignant-chercheur à Lyon 1 (IPNL), physicien des particules
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Fabienne Kunne, chercheuse au CEA à Saclay (Irfu), physicienne des particules. Quelques plans de détecteurs Micromegas. "J'ai toujours trouvé fantastique que l'on puisse décrire le monde, et le saisir dans des équations mathématiques ! Sur Compass c'est la structure des protons, avec ses quarks, ses gluons, qu'on capture ainsi. Sans le Cern, ses faisceaux de haute énergie, et les formidables innovations technologiques comme les détecteurs de traces Micromegas que l'on ne cesse d'améliorer,…

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Fabienne Kunne, chercheuse au CEA à Saclay (Irfu), physicienne des particules
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Pierre Delahaye, chercheur CNRS à Caen (Ganil), physicien nucléaire. Mesure du temps de vol et détection des noyaux exotiques dans le spectromètre de masse Isoltrap. "Mon travail consiste à exciter les noyaux pour connaître leur structure. L'expérience Isolde, véritable bijou de technologie, permet d'éprouver nos modèles théoriques, comme ceux décrivant la création de la matière au sein des étoiles. Notre collaboration, avec la fertilisation croisée des laboratoires et de la machine au Cern,…

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Pierre Delahaye, chercheur CNRS à Caen (Ganil), physicien nucléaire
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Robert Klapisch, Directeur de la Recherche au Cern de 1981 à 1987, chercheur CNRS à Orsay (CSNSM), physicien nucléaire. Le Synchrocyclotron, construit en 1957, est le premier accélérateur du Cern. "Mon premier contact avec le Cern date de 1957, le Synchrocyclotron venait de démarrer. Jusqu'en 1981, alors chercheur, j'ai vécu ce sentiment extraordinaire de la découverte : être un matin, avec vos coéquipiers, les premiers à connaître ce qui sera plus tard dans tous les manuels ! J'ai ensuite été…

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Robert Klapisch, Directeur de la Recherche au Cern de 1981 à 1987, chercheur CNRS à Orsay (CSNSM)
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Alberto Baldisseri, chercheur au CEA, à Saclay (Irfu), physicien des particules. Chambre à damiers du spectromètre à muons de l'expérience Alice. "À quoi sert la recherche fondamentale ? Souvent confronté à cette question iconoclaste, je réponds en invoquant la quête passionnée pour l'avancée des connaissances. Et quel endroit plus propice que le Cern, où règne un brassage permanent d'idées et où nos grandes expériences prennent naissance ? Faire de la recherche au Cern fait avancer les…

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Alberto Baldisseri, chercheur au CEA, à Saclay (Irfu), physicien des particules

CNRS Images,

Our work is guided by the way scientists question the world around them and we translate their research into images to help people to understand the world better and to awaken their curiosity and wonderment.