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Particles and nuclei, towards the infinitely small and beyond

Nuclear and particle physics study the infinitesimal constituents of matter and their interactions. Scientists are exploring their origin, their nature, their properties and the fundamental mechanisms that form the structure of the matter in the world around us.

Claquages sous haute tension
Claquages sous haute tension

© Christophe BARUÉ / GANIL / CNRS Images

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Nuclear physics took off at the very end of the 19th century with the discovery of the electron, X-rays and radioactivity. Physicists then discovered that at the centre of each atom there is a nucleus consisting of two kinds of particles: neutrons and protons. Depending on their number, these particles influence the nature of the atom, its properties, but also its shape and stability. To study them, scientists have learned to manipulate them, break them (fission), fuse them, etc. So far, more than 300 different stable or quasi-stable nuclei have been identified and new “exotic” ones are regularly created in accelerators, such as at Ganil in Caen. The challenge is to understand the forces at work in the nuclei in order to predict their behaviour in nature or the cosmic processes that led to their appearance on Earth. This is a complex task because protons and neutrons themselves consist of elementary particles, quarks, welded together by gluons. The core turned out to be a collection of particles in permanent motion, like a kind of fluid and of a complexity that still challenges scientists today.

Particle physics is interested in the elementary constituents of matter – those that we think are indivisible – and their interactions. Scientists create these particles in colliders, such as at CERN in Geneva, where they collide with electrons, protons or other larger nuclei. Particles, sometimes new ones, are born from the energy produced by the collisions and are studied in the detectors. The mass of data gathered as a result of a considerable number of collisions makes it possible to discover these new particles or to observe new effects. The last particle discovered, at CERN in 2012, is the Higgs boson. Paradoxically, this exploration of the infinitely small gives us a better understanding of the infinitely large, i.e. how the Universe was able to be structured and become what it is today.

Astroparticles refer, generically, to all the “messengers” received on Earth from the cosmos: neutrinos, cosmic rays, gamma photons or gravitational waves. Scientists are interested in them because they bear witness to the most violent phenomena in the Universe. Giant detectors, satellites and telescopes are used to track and thus study these cataclysmic phenomena.

Discover through images the extent of the research being done in nuclear and particle physics in CNRS laboratories.

Keywords : particle accelerator, astroparticle, Higgs boson, CERN, collider, fission, fusion, Ganil, leptons, matter, standard model, neutron, nucleus, nucleosynthesis, elementary particle, nuclear physics, quark and gluon plasma, proton, quark.

20220098_0003
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Alignement de faisceaux optiques pour le refroidissement d'atomes par lasers. L’équipe Interférométrie atomique du Laboratoire collisions agrégats réactivité (LCAR) étudie les possibilités offertes par l'interférométrie à ondes de matière. L’équipe développe des expériences d'interférométrie atomique fonctionnant avec une très grande séparation spatiale entre les bras de l'interféromètre. Cette spécificité permet de façonner les potentiels électromagnétiques et gravitationnels, ouvrant la voie…

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Alignement de faisceaux optiques pour le refroidissement d'atomes par laser
20140001_1333
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Jonction entre les éléments YB-1 et YB-2 (à gauche) de CMS (Solenoïde compact à muons), un grand détecteur du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Sur le "nez", on distingue de droite à gauche : les calorimètres électromagnétique et hadronique et les détecteurs à muons. CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées par le LHC. Il permet de détecter de nouvelles particules rares, comme le boson de Higgs. Typiquement instables, ces particules se…

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Détecteur CMS au LHC
20220098_0011
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Réseau de diffraction permettant de réaliser une source d'atomes froids transportable. Le réseau permet de diffracter les faisceaux lumineux et de créer l'ensemble des faisceaux de piégeage nécessaires au refroidissement d'atomes par laser. L’équipe Interférométrie atomique du Laboratoire collisions agrégats réactivité (LCAR) étudie les possibilités offertes par l'interférométrie à ondes de matière. L’équipe développe des expériences d'interférométrie atomique fonctionnant avec une très grande…

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Réseau de diffraction permettant de réaliser une source d'atomes froids transportable
20230065_0002
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Déploiement du Nœud de connexion 1 du Laboratoire sous-marin Provence Méditerranée (LSPM) avec un navire câblier d'Orange Marine. Cette infrastructure installée par 2 450 mètres de profondeur, à 40 kilomètres au sud de Toulon, rassemble des instruments pour étudier les neutrinos et l’environnement marin. Il s’agit d’une infrastructure sous-marine câblée organisée autour d’une série de nœuds de connexion et de systèmes intelligents qui alimentent plusieurs instruments scientifiques et en…

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Déploiement du Nœud de connexion 1 du Laboratoire sous-marin Provence Méditerranée (LSPM)
20140001_1324
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Carte électronique principale du système d'étalonnage par lumière laser des tubes photomultiplicateurs (PMTs) du TileCal. Ce dernier est le calorimètre hadronique à tuiles scintillantes du détecteur Atlas, l'une des expériences du Grand collisionneur de hadrons (LHC). L'émission des diodes électro-luminescentes (couleurs) attestent de l'activité de la carte. Le TileCal détecte les hadrons créés lors de collisions proton-proton, mesure leur énergie et leur position. L'énergie déposée par les…

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Calorimètre TileCal au LHC
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Câblage du banc de test de l'électronique du TileCal, le calorimètre hadronique à tuiles scintillantes du détecteur Atlas, l'une des expériences du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il entoure le calorimètre électromagnétique à argon liquide. Il permet de mesurer l'énergie des hadrons, qui ne déposent qu'une partie de leur énergie dans le calorimètre à argon liquide. La lumière produite par le passage des hadrons est transformée en signal électrique par un ensemble de tubes…

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Calorimètre TileCal au LHC
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Technicien faisant la maintenance de CMS (Solenoïde compact à muons), un grand détecteur du Grand collisionneur de hadrons (LHC), pendant un arrêt technique long (2013 à 2015). CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées par le LHC. Il permet de détecter de nouvelles particules rares, comme le boson de Higgs. Typiquement instables, ces particules se désintègrent rapidement en une cascade de particules plus légères et mieux connues. En traversant CMS…

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Détecteur CMS au LHC
20200012_0014
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Maintenance en cours sur les détecteurs à muons de l'expérience CMS lors de l'arrêt prolongé de l'accélérateur LHC. Le Solénoïde compact pour muons (CMS) est un détecteur polyvalent installé sur l’anneau du Grand collisionneur de hadrons (LHC). Il repose sur un aimant solénoïde géant pour incurver les trajectoires des particules produites lors des collisions dans le LHC. CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées par le LHC. Il permet de détecter…

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Maintenance en cours sur les détecteurs à muons de l'expérience CMS
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Partie de LHCb, un détecteur du Grand collisionneur de hadrons (LHC), conçu pour étudier les légères asymétries entre matière et antimatière, à partir de particules connues sous le nom de quarks de beauté. De gauche à droite, on observe les trois stations du trajectographe ainsi que les calorimètres électromagnétique et hadronique. Les collisions du LHC produisent des milliards de quarks et d'antiquarks de beauté qui forment des hadrons "beaux". LHCb étudie avec une prévision inégalée la…

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Détecteur LHCb
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Bobine supraconductrice et son support YB0, élément central de CMS (Solenoïde compact à muons), un grand détecteur du Grand collisionneur de hadrons (LHC). CMS identifie et mesure avec précision l'énergie et l'impulsion des particules accélérées par le LHC. Il permet de détecter de nouvelles particules rares, comme le boson de Higgs. Typiquement instables, ces particules se désintègrent rapidement en une cascade de particules plus légères et mieux connues. En traversant CMS, elles laissent dans…

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Détecteur CMS au LHC
20140001_1280
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Le détecteur de particules ALICE dans l'aimant L3, ouvert pour une période de maintenance. Il mesure 16 m de hauteur sur 26 m de longueur. Il enregistre plusieurs centaines de collisions frontales d'ions lourds par seconde. Ses 18 sous-détecteurs pistent et identifient les dizaines de milliers de particules produites lors de chaque collision frontale entre deux ions plomb. En réalisant ces collisions de noyaux lourds accélérés à une vitesse proche de celle de la lumière, le Large Hadron…

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Détecteur ALICE au LHC
20140001_1307
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Atlas, le détecteur le plus volumineux jamais construit pour la physique des particules (46 m de long pour 25 m de haut), en position ouverte pendant une période d'arrêt. Conçu pour comprendre notre Univers et son évolution, il détecte les particules élémentaires produites lors des collisions protons-protons. Les protons sont accélérés jusqu'à une énergie totale de 14 TeV par le Grand collisionneur de hadrons (LHC) du CERN. Un milliard de collisions sont produites chaque seconde, mais seules…

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Détecteur Atlas au LHC
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Atlas, le détecteur le plus volumineux jamais construit pour la physique des particules (46 m de long pour 25 m de haut), en position ouverte pendant une période d'arrêt. Conçu pour comprendre notre Univers et son évolution, il détecte les particules élémentaires produites lors des collisions protons-protons. Les protons sont accélérés jusqu'à une énergie totale de 14 TeV par le Grand collisionneur de hadrons (LHC) du CERN. Un milliard de collisions sont produites chaque seconde, mais seules…

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Détecteur Atlas au LHC
20220127_0022
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Outillage d'assemblage des capteurs à pixels hybrides (au second plan) de l'expérience Atlas/Itk-Pixel et prototype de détecteur en silicium (au premier plan), développés par le Centre de physique des particules de Marseille (CPPM). Il permet d’assembler par collage les capteurs sur des structures porteuses. Quatre mille capteurs de ce type sont montés dans six sites répartis dans le monde. Ils sont destinés au tonneau externe ("Outer Barrel") du nouveau trajectographe à pixels (Itk-Pixel) de l…

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Outillage d'assemblage des capteurs du trajectographe à pixels de l'expérience Atlas au LHC
20220127_0007
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Carte Intermezzo, ici montée sur une carte d'évaluation, conçue par le Centre de physique des particules de Marseille (CPPM) pour l’expérience Atlas. Le détecteur de particules polyvalent Atlas du Grand collisionneur de hadrons (LHC) étudie des domaines de physique très variés, de la recherche du boson de Higgs aux particules qui pourraient former la matière noire. Le CPPM est notamment en charge de l'électronique d'acquisition pour la future version du calorimètre électromagnétique, qui sera…

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Carte Intermezzo destinée à l'expérience Atlas, montée sur une carte d'évaluation
20220127_0019
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Ensemble de tuiles de verre collées d'épaisseur 1 mm qui composent un des disques de diamètre 300 mm du prototype du futur détecteur d'axions de l'expérience MadMax (Magnetized disc and mirror axion experiment). La matière noire est une des grandes énigmes actuelles de la physique fondamentale. Bien qu’elle représente 85 % de la masse totale de l’univers, sa nature reste inexpliquée par le modèle standard de la physique des particules. Cette théorie classifie les particules fondamentales et…

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Tuiles de verre d'un disque du prototype du futur détecteur d'axions de l'expérience MadMax
20190062_0006
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Nous sommes à l’intérieur de la cavité accélératrice d’un cyclotron, un accélérateur circulaire de particules. Après plusieurs années de fonctionnement, des arcs électriques de très haute tension, jusqu’à 100 000 volts et d’une durée de quelques microsecondes, ont littéralement pulvérisé le cuivre de la cavité. Ces taches éclatantes reflètent la rugosité de la paroi et les dépôts métalliques non uniformes. Cette image a été lauréate du concours La preuve par l’image (LPPI) 2019.

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20190062_0006
Claquages sous haute tension
20140001_1580
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Le Ganil (Grand accélérateur national d'ions lourds) à Caen, où le détecteur AGATA a été installé en juin 2014 pour une campagne de deux ans. On distingue le spectromètre VAMOS (Variable mode spectrometer) à gauche et des baies destinées à accueillir les infrastructures de traitement du signal d'AGATA (Advanced gamma tracking array) à droite. AGATA est un détecteur de rayon gamma qui permet, grâce à un système de "tracking", de suivre le parcours d'un photon de façon précise en identifiant ses…

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AGATA, détecteur de rayon gamma
20160093_0063
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View of the heavy ion source of SPIRAL 2 (2nd generation linear radioactive ion production system), installed at the Large National Heavy Ion Accelerator (GANIL) in Caen. The Electron Cyclotron Resonance (ECR) ion source is composed of a vacuum cavity into which atoms are injected in the form of a gas. The cavity is subjected to a strong micro-wave field which causes collisions between free plasma electrons and the gas atoms, resulting in the ionisation of the gas atoms. The SPIRAL 2 linear…

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View of the heavy ion source of SPIRAL 2
20160093_0082
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Ion beam transport line of SPIRAL 2 (2nd generation linear radioactive ion production system), installed at the Large National Heavy Ion Accelerator (GANIL) in Caen. Light particles (protons, deutons, alphas) and heavy ions are produced by means of Electron Cyclotron Resonance (ECR) sources, composed of a vacuum cavity into which atoms are injected in the form of a gas. The cavity is subjected to a strong micro-wave field which causes collisions between free plasma electrons and the gas atoms,…

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Ion beam transport line of SPIRAL 2
20160093_0028
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Cryomodules enclosing the superconductive accelerating cavities of the SPIRAL 2 LINAC (LINear ACcelerator). The cavities are composed of niobium and induce an intense electromagnetic field required to accelerate the ion beams. SPIRAL 2 (2nd generation linear radioactive ion production system), installed at the Large National Heavy Ion Accelerator (GANIL), in Caen. SPIRAL 2 connects the LINAC to laboratories dedicated to the exploration of the atomic nucleus. The SPIRAL 2 LINAC delivers light…

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Cryomodules enclosing the superconductive accelerating cavities of the SPIRAL 2 LINAC
20160093_0019
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View of the LINAC (LINear ACcelerator) of SPIRAL 2 (a 2nd generation linear radioactive ion production system) with its superconductive cryomodules enclosing accelerating cavities. SPIRAL 2 is installed at GANIL (Large National Heavy ion Accelerator), in Caen. SPIRAL 2 connects the LINAC to laboratories dedicated to the exploration of the atomic nucleus. The SPIRAL 2 LINAC delivers light and heavy ion beams at extremely high intensities, more than 10 times greater than those available at GANIL…

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View of the LINAC of SPIRAL 2 with its superconductive cryomodules enclosing accelerating cavities
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Portrait de Émilie Schibler, lauréate de la médaille de cristal 2019 du CNRS. Ingénieure de recherche en mécanique au sein de l'Institut de physique des deux infinis de Lyon (DR07), spécialisée dans le développement d'instruments et de détecteurs utilisés sur accélérateurs de particules, pour l'étude de l'infiniment petit.

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Médaille de Cristal 2019 : Émilie Schibler, ingénieure de recherche en mécanique
20070001_0061
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Le site de Chooz, dans les Ardennes, qui accueillera l'expérience Double Chooz destinée à étudier les neutrinos, ces particules élémentaires produites en abondance dans les étoiles, l'atmosphère, et les coeurs des centrales nucléaires. Deux détecteurs identiques seront placés près de la centrale nucléaire de Chooz (Ardennes), à des distances différentes des réacteurs (1km et et 275m). L'expérience permettra de mesurer avec précision la dernière propriété, encore mal connue des neutrinos : l…

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Le site de la centrale nucléaire de Chooz vu du ciel
20090001_1036
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Vue d'ensemble de l'expérience Double Chooz. Au premier plan le couvercle de la cuve du détecteur de neutrinos avant la pose et au fond la cuve avec les ingénieurs et techniciens qui y travaillent. Lieu de l'expérience Double Chooz sur le site de la centrale nucléaire de Chooz (Ardennes). Cette expérience a pour but de mesurer le troisième angle de mélange des neutrinos, nommé Theta1.3.

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Vue d'ensemble de l'expérience Double Chooz. Au premier plan le couvercle de la cuve du détecteur de
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Alexander Zabi, Jessica Leveque and Marumi Kado, CNRS physicists explain how they seek the missing link of particle physics, the Higgs boson, a particle predicted for over 40 years but never observed. This is due to the particle accelerator, the LHC (Large Hadron Collider) that are produced proton collisions at very high energies, which are recorded in experiments such as Atlas and CMS. The observation of the decay products of the Higgs boson would be a major breakthrough in understanding the…

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Hunting the Higgs boson
20030001_0225
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Recherche du boson de Higgs et supersymétrie. Banc de test d'une carte front-end du calorimètre d'ATLAS (A Toroidal LHC Apparatus). Cette carte front-end est nécessaire à la lecture et à la mise en forme des signaux provenant du détecteur de particules ATLAS au CERN. Niveau d'intégration très poussé avec des fonctionnalités très complexes, ensemble résistant aux radiations.

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Recherche du boson de Higgs et supersymétrie. Banc de test d'une carte front-end du calorimètre d'AT
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Portrait d'Elizabeth Petit, médaille de bronze du CNRS 2022, chercheuse en physique des particules au Centre de physique des particules de Marseille (CPPM), membre de la collaboration ATLAS au Cern, spécialiste du boson de Higgs. Les travaux d'Elisabeth Petit explorent le mécanisme d'émergence de la masse des particules élémentaires. Depuis son doctorat, obtenu en 2011 au Centre de physique des particules de Marseille, elle concentre ses recherches autour du boson de Higgs - la…

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Médaille de bronze 2022 : Elisabeth Petit, chercheuse en physique des particules
20130001_1512
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Câblage des appareils de diagnostic du faisceau du dispositif de détection BEDO (Beta decay studies in Orsay) qui permet d'étudier la radioactivité bêta. Il est situé près du séparateur d'isotopes en ligne PARRNe (Production d'atomes radioactifs riches en neutrons). BEDO détecte les rayonnements émis par la décroissance de sources radioactives, constitués lors de la collection des isotopes très riches en neutrons (exotiques) produits à ALTO. Il est optimisé pour détecter les évènements rares…

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Câblage des appareils de diagnostic du faisceau du dispositif de détection BEDO (Beta decay studies
20080001_0458
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Une ligne de détection du télescope sous-marin à neutrinos ANTARES, prête à être déployée en Méditerranée, au large de l'île de Porquerolles, par 2 500 mètres de profondeur. ANTARES est le premier télescope sous-marin destiné à étudier les neutrinos cosmiques de très haute énergie. Ces particules fugaces sont émises par les sources les plus lointaines et violentes de l'Univers, comme les pulsars ou les restes de supernovae. L'enjeu d'Antares est donc de mieux connaître la structure de l'Univers…

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Une ligne de détection du télescope sous-marin à neutrinos ANTARES, prête à être déployée en Méditer
20080001_0455
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Mise à l'eau d'une ligne de détection du télescope sous-marin à neutrinos ANTARES, déployée en Méditerranée, au large de l'île de Porquerolles, par 2 500 mètres de profondeur. La ligne comporte 25 étages équipés chacun de trois modules optiques qui scrutent le fond de la mer. ANTARES est le premier télescope sous-marin destiné à étudier les neutrinos cosmiques de très haute énergie. Ces particules fugaces sont émises par les sources les plus lointaines et violentes de l'Univers, comme les…

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Mise à l'eau d'une ligne de détection du télescope sous-marin à neutrinos ANTARES, déployée en Médit
20180069_0020
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Modifications pour réaliser des tests de performances d'un système de transfert de temps ultrastable par fibre optique. Ce prototype permet de transférer le temps avec des stabilités meilleures que la picoseconde grâce à une méthode de démodulation optique. Ce système ouvre la voie à des comparaisons d’échelles de temps sans dégradation due au moyen de comparaison, et devrait permettre à terme des tests poussés de la relativité générale.

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Modifications sur un système transfert de temps ultrastable par fibre optique
20210159_0056
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Simulation d'une carte brownienne, modèle de géométrie aléatoire. L'unification de la physique quantique et de la relativité générale reste l'un des grands défis de la science contemporaine. Elle semble demander, a minima, de disposer de bons concepts mathématiques de "géométrie aléatoire", une notion pourtant redoutablement difficile à formaliser. Les cartes browniennes en sont un modèle mathématique simplifié dans le cas d'un espace-temps qui n'aurait que deux dimensions. Elles peuvent être…

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20210159_0056
Simulation d'une carte brownienne, modèle de géométrie aléatoire
20210159_0058
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Simulation d'une carte brownienne, modèle de géométrie aléatoire. L'unification de la physique quantique et de la relativité générale reste l'un des grands défis de la science contemporaine. Elle semble demander, a minima, de disposer de bons concepts mathématiques de "géométrie aléatoire", une notion pourtant redoutablement difficile à formaliser. Les cartes browniennes en sont un modèle mathématique simplifié dans le cas d'un espace-temps qui n'aurait que deux dimensions. Elles peuvent être…

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20210159_0058
Simulation d'une carte brownienne, modèle de géométrie aléatoire
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From the birth of physicist Pierre Auger to the creation of CERN in 1952, this film tells the story of four great French physicists. Pierre Auger, Bertrand Goldschmidt, Jacques Labeyrie and Georges Charpak tell us about their career, their work and the personalities they met and worked with. A history of nuclear power in France unfolds throughout their interviews supported by numerous archive images. As a result of the work of Pierre Auger and Bertrand Goldschmidt, which had led to the creation…

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Science giants
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En Islande, l'équipe de muographie de l'Institut des 2 Infinis de Lyon (IP2I - Lyon) installe un détecteur à muons afin d'imager le volcan Snaefellsjökull. Jacques Marteau, physicien des particules lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2022, présente ce procédé innovant qui permet d'obtenir une image de l'intérieur des structures traversées, comme avec les rayons X en imagerie médicale. La muographie devrait permettre de vérifier l'existence d'un système hydrothermal actif au sein du…

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Dans les entrailles du Snaefellsjökull
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« En tant que physicien des particules, être reconnu pour une application industrielle de mes recherches est inattendu ! », reconnaît Jacques Marteau, de l'Institut de physique des deux infinis de Lyon (CNRS/Université Claude Bernard Lyon 1). Pourtant, « grâce à une succession de belles rencontres et de hasards », le maître de conférences de l'Université Claude Bernard Lyon 1 a rapidement identifié le potentiel d'une technologie initialement développée pour la recherche fondamentale : le…

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Médaille de l'innovation 2022 : Jacques Marteau, pionnier de l'imagerie par muons
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Portraits de Jacques Marteau et Denis Spitzer, lauréats de la médaille de l'innovation 2022 du CNRS. Jacques Marteau, pionnier de l'imagerie par muons « En tant que physicien des particules, être reconnu pour une application industrielle de mes recherches est inattendu ! », reconnaît Jacques Marteau de l'Institut de physique des deux infinis de Lyon (CNRS/Université Claude Bernard Lyon 1). Pourtant, « grâce à une succession de belles rencontres…

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Jacques Marteau et Denis Spitzer, médailles de l'innovation 2022
20220119_0011
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Le trajectographe à muons face au volcan Snaefellsjökull, en Islande. Ce détecteur de muons est constitué de trois plans de détection assemblés sur une structure métallique. Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2022 à l'origine de la start-up Muodim, et l'équipe de muographie de l’Institut de physique des 2 infinis de Lyon (IP2I-Lyon) cherchent à imager le Snaefellsjökull, un volcan immortalisé par Jules Verne dans "Voyage au centre de la Terre". La muographie est une…

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Le trajectographe à muons face au volcan Snaefellsjökull, Islande
20220119_0008
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Jacques Marteau, lauréat de la médaille de l'innovation du CNRS 2022 à l'origine de la start-up Muodim, et Jean-Christophe Ianigro, collaborateur de l’Institut de physique des 2 infinis de Lyon (IP2I-Lyon) et de Muodim, assemblent les plans de détection du trajectographe à muons, en Islande. Ce détecteur de muons sera ensuite calibré, avant d'être pointé sur le volcan Snaefellsjökull, à l’arrière-plan. L’équipe de muographie de l’IP2I-Lyon cherche à imager ce volcan immortalisé par Jules Verne…

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Assemblage du trajectographe à muons pour imager le volcan Snaefellsjökull, Islande

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