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Cellules microgliales (en jaune) dans la région de l'hypothalamus d'un cerveau de souris ayant consommé un régime alimentaire pro-inflammatoire enrichi en huile de tournesol, vues en microscopie confocale. Les lipides inflammatoires contenus dans cette huile sont suspectés d'être à l'origine du déclenchement de l'activation des cellules microgliales (des cellules du système nerveux central) qui développent alors une forme très ramifiée. Cette image a été produite dans le cadre d'une étude sur l…

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Cellules microgliales, hypothalamus d'un cerveau de souris, après un régime alimentaire riche en oméga 6
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Patricia Rousselle est spécialisée dans la cicatrisation et la régénération de la peau. Cette directrice de recherche du CNRS au Laboratoire de biologie tissulaire et d'ingénierie thérapeutique étudie le dialogue entre les cellules, du derme comme de l'épiderme, et les protéines présentes dans leur microenvironnement. Ses travaux l'ont amenée à développer des traitements pour les grands brûlés, pour la cicatrisation post-chirurgie et sur les tumeurs qui touchent la peau. Patricia…

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Médaille de l'innovation 2023 : Patricia Rousselle, chercheuse en biologie cellulaire et tissulaire
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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et Caroline Cluzel-Grangeasse analysent les images des cellules de la peau acquises sur un microscope à super-résolution du Plateau technique d’imagerie / microscopie (Platim) de Biosciences, à Lyon. Elles sélectionnent les zones d’intérêt à analyser ensuite en fluorescence. L’accumulation des acquisitions en fluorescence permettra la reconstitution d’une image super-résolue qui pourra être analysée et quantifiée…

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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et une collaboratrice
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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et Caroline Cluzel-Grangeasse observent le microenvironnement des cellules de la peau à l’aide d’un microscope à super-résolution du Plateau technique d’imagerie / microscopie (Platim) de Biosciences, à Lyon. Il permet d'imager en microscopie optique confocale des objets à une résolution nanométrique. Les scientifiques recherchent les zones d’intérêt d’une plaque de culture placée dans l’incubateur attenant. Patricia…

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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et une collaboratrice
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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et Caroline Cluzel-Grangeasse observent le microenvironnement des cellules de la peau à l’aide d’un microscope à super-résolution du Plateau technique d’imagerie / microscopie (Platim) de Biosciences, à Lyon. Il permet d'imager en microscopie optique confocale des objets à une résolution nanométrique. Les scientifiques recherchent les zones d’intérêt d’une plaque de culture placée dans l’incubateur attenant. Patricia…

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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et une collaboratrice
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Préparation de matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro, et renouvellement de leur milieu nutritif. Il apparait en rouge car il contient un colorant indicateur du pH. Différentes tailles et formes de ces modèles sont développées pour analyser l’impact de la rigidité du tissu sur les capacités régénératrices des cellules du derme et de l’épiderme, dans le cadre de recherches menées par Patricia…

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Préparation de matrices tridimensionnelles de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Préparation de matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro, et renouvellement de leur milieu nutritif. Il apparait en rouge car il contient un colorant indicateur du pH. Différentes tailles et formes de ces modèles sont développées pour analyser l’impact de la rigidité du tissu sur les capacités régénératrices des cellules du derme et de l’épiderme, dans le cadre de recherches menées par Patricia…

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Préparation de matrices tridimensionnelles de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Préparation de matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro, et renouvellement de leur milieu nutritif. Il apparait en rouge car il contient un colorant indicateur du pH. Différentes tailles et formes de ces modèles sont développées pour analyser l’impact de la rigidité du tissu sur les capacités régénératrices des cellules du derme et de l’épiderme, dans le cadre de recherches menées par Patricia…

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Préparation de matrices tridimensionnelles de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et Chloé Laigle préparent des matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro, et renouvellent leur milieu nutritif. Il apparait en rouge car il contient un colorant indicateur du pH. Différentes tailles et formes de ces modèles sont développées pour analyser l’impact de la rigidité du tissu sur les capacités régénératrices des…

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Préparation de matrices tridimensionnelles de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Préparation de matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro, et renouvellement de leur milieu nutritif. Il apparait en rouge car il contient un colorant indicateur du pH. Différentes tailles et formes de ces modèles sont développées pour analyser l’impact de la rigidité du tissu sur les capacités régénératrices des cellules du derme et de l’épiderme, dans le cadre de recherches menées par Patricia…

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Préparation de matrices tridimensionnelles de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Préparation de matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro, et renouvellement de leur milieu nutritif. Il apparait en rouge car il contient un colorant indicateur du pH. Différentes tailles et formes de ces modèles sont développées pour analyser l’impact de la rigidité du tissu sur les capacités régénératrices des cellules du derme et de l’épiderme, dans le cadre de recherches menées par Patricia…

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Préparation de matrices tridimensionnelles de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et Chloé Laigle. Sous la hotte, des matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro. Ce modèle de culture est utilisé par le laboratoire pour analyser le dialogue entre les cellules et leur microenvironnement et pour tester les innovations en développement. Patricia Rousselle appartient au Laboratoire de biologie tissulaire et d…

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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et une collaboratrice
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Observation d’échantillons de peau en cours de cicatrisation après une coloration en immunohistochimie, à l’aide d’un microscope optique droit. Cette technique permet de démontrer la présence ou l’absence d’une protéine dans les cellules ou le microenvironnement d’une coupe de tissu et de distinguer les différentes étapes du processus de réparation. Elle est utilisée ici pour identifier d’éventuels dysfonctionnements liés à des pathologies, notamment au niveau de la réaction inflammatoire…

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Observation d’échantillons de peau en cours de cicatrisation au microscope optique
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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et Alexandra Pavilla observent des échantillons de peau en cours de cicatrisation après une coloration en immunohistochimie, à l’aide d’un microscope optique droit. Cette technique permet de démontrer la présence ou l’absence d’une protéine dans les cellules ou le microenvironnement d’une coupe de tissu et de distinguer les différentes étapes du processus de réparation. Elle est utilisée ici pour identifier d’éventuels…

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Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, et une collaboratrice
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Matrices biomimétiques à architecture tridimensionnelle colonisées par des cellules cutanées humaines et maintenues en culture in vitro. Ce modèle de culture est utilisé par le laboratoire de Patricia Rousselle pour analyser le dialogue entre les cellules et leur microenvironnement et pour tester les innovations en développement. Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, appartient au Laboratoire de biologie tissulaire et d’ingénierie thérapeutique (LBTI)…

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Matrices tridimensionnelles de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Matrice biomimétique à architecture tridimensionnelle colonisée par des cellules cutanées humaines et maintenue en culture in vitro. Ce modèle de culture est utilisé par le laboratoire de Patricia Rousselle pour analyser le dialogue entre les cellules et leur microenvironnement et pour tester les innovations en développement. Patricia Rousselle, lauréate de la médaille de l’innovation du CNRS 2023, appartient au Laboratoire de biologie tissulaire et d’ingénierie thérapeutique (LBTI)…

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Matrice tridimensionnelle de tissu cutané humain simplifié in vitro
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Epiderme de xénope, "Xenopus laevis", au stade embryonnaire couvert de cellules multiciliées (MCC), vu en microscopie électronique à balayage. Ces cellules forment jusqu’à plusieurs centaines de cils motiles dont les battements facilitent le déplacement de certains fluides, particules et cellules dans l’organisme. Les MCC assurent ainsi la propulsion du liquide céphalo-rachidien dans le cerveau et le système nerveux central, font circuler l’œuf fécondé depuis l’oviducte jusqu’à l’utérus, ou…

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Epiderme de xénope au stade embryonnaire couvert de cellules MCC, microscopie électronique à balayage
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Portrait de Julie Déchanet-Merville, Médaille d'argent 2023 du CNRS, directrice de recherche en immunologie et directrice du laboratoire Immunologie conceptuelle, expérimentale et translationnelle. Après son doctorat en immunologie, Julie Déchanet-Merville se focalise sur les réponses immunitaires impliquées dans le contrôle des infections par le cytomégalovirus survenant chez les patients immunodéprimés. Elle démontre l'importance du rôle joué par les lymphocytes T de type…

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Médaille d'argent 2023 : Julie Déchanet-Merville, chercheuse en immunologie
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Portrait de Mathieu Letellier, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheur en neurophysiologie à l'Institut interdisciplinaire de neurosciences, spécialiste des mécanismes moléculaires et cellulaires de la plasticité synaptique. La plasticité est l'incroyable capacité de notre cerveau à se réorganiser en fonction de notre environnement. Elle joue un rôle essentiel pendant le développement, mais aussi lors de processus adaptatifs comme l'apprentissage et la mémoire. À…

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Médaille de bronze 2023 : Mathieu Letellier, chercheur en neurophysiologie
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Portrait de Sophie Abby, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheuse en biologie évolutive au laboratoire Recherche translationnelle et innovation en médecine et complexité, spécialiste des mécanismes de diversification des procaryotes. Riche d'une double formation en biologie et en sciences computationnelles, Sophie Abby s'intéresse aux mécanismes d'évolution chez les procaryotes (bactéries et archées). La chercheuse conçoit des méthodes de calcul dans l'objectif d'analyser…

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Médaille de bronze 2023 : Sophie Abby, chercheuse en biologie évolutive
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Portrait d'Antone Coulon, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheur en biologie au laboratoire Dynamique du noyau, spécialiste de la dynamique spatio-temporelle des chromosomes. Le noyau de nos cellules contient notre matériel génétique, mais est aussi le centre décisionnel pour l'expression des gènes. Cette fonction, essentielle pour l'organisme, fascine Antoine Coulon dont les recherches visent à mieux comprendre l'organisation, la dynamique et la mécanique des chromosomes…

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Médaille de bronze 2023 : Antoine Coulon, chercheur en biologie
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Portrait de Matthieu Pied, Médaille d'argent 2023 du CNRS, directeur de recherche en biologie cellulaire spécialiste des mécanismes de migration et de division des cellules au sein du laboratoire Biologie cellulaire et cancer. Physicien de formation, Matthieu Piel obtient un doctorat en biologie cellulaire en 2001, soulignant son engouement pour l'interdisciplinarité. Il s'intéresse à l'architecture des cellules en vue de comprendre comment ces dernières se déforment dans un…

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Médaille d'argent 2023 : Matthieu Piel, chercheur en biologie cellulaire
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Portrait de Léïla Perié, Médaille de bronze 2023 du CNRS, directrice de recherche en biologie cellulaire au Laboratoire physico-chimie Curie, spécialiste de la différenciation cellulaire des cellules sanguines. Leïla Perié mène des recherches originales sur la production des cellules immunitaires et sanguines et comment celles-ci s'adaptent aux demandes changeantes de l'organisme. Elle utilise des modèles mathématiques et des techniques expérimentales de pointe, lui permettant de…

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Médaille de bronze 2023 : Léïla Perié, chercheuse en biologie cellulaire
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L'esthétique qui se dégage de cette composition chromatique est trompeuse. Il s’agit en effet d’un amas de cellules cancéreuses issu du liquide péritonéal d’une patiente atteinte d’un cancer de l’ovaire à un stade avancé. Cette image en haute résolution, qui détaille la morphologie d’un amas cellulaire, révèle son pouvoir métastatique. Dans de telles circonstances certains noyaux, en bleu, viennent se plaquer contre la paroi des cellules, en rouge. Les taches jaunes qui constellent l'intérieur…

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Beauté fatale
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Portrait de Sébastien Janel, Médaille de bronze 2023 du CNRS, ingénieur de recherche et coordinateur de la microscopie à force atomique de l'équipe Microbiologie cellulaire et physique de l'infection au Centre d'infection et d'immunité de Lille (CIIL). Sébastien Janel conçoit et réalise des expériences de microscopie à force atomique (AFM) au sein du Centre d'infection et d'immunité de Lille. Ce type de microscopie permet notamment d'analyser la surface d'objets à l'échelle…

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Médaille de cristal 2023 : Sébastien Janel, ingénieur en microscopie
20230019_0001
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Modélisation d'un pore ouvert par un champ électrique dans une biomembrane. L'électroporation consiste à perforer la membrane cellulaire à l’aide d’un champ électrique pour délivrer une substance thérapeutique, comme des médicaments ou de l’ADN, à l’intérieur des cellules. Des scientifiques ont dévoilé des éléments essentiels à la connaissance de ce phénomène largement utilisé mais encore peu compris. Les résultats expérimentaux suggèrent ainsi que l’interaction du champ électrique avec les…

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Modélisation d'un pore ouvert par un champ électrique dans une biomembrane
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Portrait de Mathilde Paris, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheuse en évolution et développement à l'Institut de génomique fonctionnelle de Lyon, spécialiste de l'étude bio-informatique de génomes animaux. Quelle est la différence entre une patte de crustacé et sa remplaçante régénérée après une amputation ? Aucune, le nombre et la proportion des types cellulaires sont identiques. Mais la régénération n'est pas pour autant une répétition du développement. Elle fait appel aux mêmes…

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Médaille de bronze 2023 : Mathilde Paris, chercheuse en évolution et développement
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Préparation d’un milieu de culture de cellules sous hotte stérile. Les scientifiques travaillent sur des cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et des fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif), cultivés in vitro. Des boîtes de Petri contenant un gel aux propriétés élastiques définies sont préparées sous une hotte stérile. Les cellules étudiées sont placées sur ce gel avec du milieu de culture…

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Préparation d’un milieu de culture de cellules sous hotte stérile
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Préparation d’un milieu de culture de cellules sous hotte stérile. Les scientifiques travaillent sur des cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et des fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif), cultivés in vitro. Des boîtes de Petri contenant un gel aux propriétés élastiques définies sont préparées sous une hotte stérile. Les cellules étudiées sont placées sur ce gel avec du milieu de culture…

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Préparation d’un milieu de culture de cellules sous hotte stérile
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Mise en culture de cellules de mammifères sous conditions contrôlées. Les boîtes de Petri contenant des cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et des fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif), ainsi que leur milieu de culture, sont placées dans un incubateur pendant 48h à 37 °C. Cette étape permet aux cellules de croître. Les scientifiques cherchent à mieux comprendre les adaptations et les…

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Mise en culture de cellules de mammifères sous conditions contrôlées
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Vérification visuelle de la mortalité de cellules de mammifères cultivées in vitro. Après s’être développés dans des conditions contrôlées, les cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et les fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif) sont examinés au microscope. Ce dernier permet de vérifier l’aspect des cellules, notamment leur croissance ou leur mortalité, dans chacune des boîtes de Petri. Les…

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Vérification visuelle de la mortalité de cellules de mammifères cultivées in vitro
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Observation de cellules de mammifères cultivées in vitro. Après s’être développés dans des conditions contrôlées, les cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et les fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif) sont examinés au microscope. Ce dernier permet de vérifier l’aspect des cellules, notamment leur croissance ou leur mortalité, dans chacune des boîtes de Petri. Un écran relié au microscope…

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Observation de cellules de mammifères cultivées in vitro au microscope
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Observation de cellules de mammifères cultivées in vitro. Après s’être développés dans des conditions contrôlées, les cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et les fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif) sont examinés au microscope. Ce dernier permet de vérifier l’aspect des cellules, notamment leur croissance ou leur mortalité, dans chacune des boîtes de Petri. Un écran relié au microscope…

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Observation de cellules de mammifères cultivées in vitro au microscope
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Observation de cellules de mammifères cultivées in vitro. Après s’être développés dans des conditions contrôlées, les cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et les fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif) sont examinés au microscope. Ce dernier permet de vérifier l’aspect des cellules, notamment leur croissance ou leur mortalité, dans chacune des boîtes de Petri. Un écran relié au microscope…

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Observation de cellules de mammifères cultivées in vitro au microscope
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Préparation d’échantillons de cellules de mammifères cultivées in vitro pour les observer en microscopie à fluorescence. Des lamelles contenant des cellules souches mésenchymateuses humaines (cellules capables d’agir sur la réparation et la régénération des tissus) et des fibroblastes humains (cellules principales du tissu conjonctif), sont préparées pour être observées en microscopie à fluorescence. Au cours de cette expérience des protéines et des molécules d’intérêts (ici la lamine, l’actine…

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Préparation d’échantillons de cellules de mammifères cultivées in vitro pour les observer en microscopie à fluorescence
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Utilisation de la microscopie à fluorescence pour l’observation de cellules de mammifères cultivées in vitro. La microscopie à fluorescence permet de caractériser les modifications morphologiques des cellules, notamment de leur cytosquelette, qui est la composante structurale principale des cellules. Les protéines d’actine sont marquées en rouge permettant la visualisation des fibres d’actine, clé de voute du cytosquelette. La lamine qui délimite les noyaux des cellules est marquée en vert et…

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Utilisation de la microscopie à fluorescence pour l’observation de cellules de mammifères cultivées in vitro
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Préparation d’une électrophorèse sur gel d’agarose permettant la migration de l’ADN. Des échantillons d’ADN, extraits de cellules cultivées sur des gels de différentes rigidités, sont prélevés et placés dans chacun des puits de la machine. Un courant électrique traversera le gel et permettra, au bout de 25 minutes, la migration des fragments d’ADN dans le gel afin de les séparer selon leur taille. L’ajout d’un ligand à la solution permet de bien visualiser la migration des échantillons d’ADN…

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Préparation d’une électrophorèse sur gel d’agarose permettant la migration de l’ADN
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Visualisation de la migration de fragments d’ADN sous lumière ultraviolette (UV), après réalisation d’une électrophorèse d’ADN. La lumière UV permet de révéler chaque molécule d’ADN présente dans le gel d'agarose. Ici, la chromatine a été fragmentée par des ultrasons. Dans les cellules, l’ADN est empaqueté grâce à des protéines (notamment les histones), ce qui constitue la chromatine. Les fragments vont ensuite permettre de capturer des protéines spécifiques interagissant avec leurs régions d…

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Visualisation de la migration de fragments d’ADN sous lumière ultraviolette (UV)
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Visualisation de la migration de fragments d’ADN sous lumière ultraviolette (UV), après réalisation d’une électrophorèse d’ADN. La lumière UV permet de révéler chaque molécule d’ADN présente dans le gel d'agarose. Ici, la chromatine a été fragmentée par des ultrasons. Dans les cellules, l’ADN est empaqueté grâce à des protéines (notamment les histones), ce qui constitue la chromatine. Les fragments vont ensuite permettre de capturer des protéines spécifiques interagissant avec leurs régions d…

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Visualisation de la migration de fragments d’ADN sous lumière ultraviolette (UV)
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Visualisation de la migration de fragments d’ADN sous lumière ultraviolette (UV), après réalisation d’une électrophorèse d’ADN. La lumière UV permet de révéler chaque molécule d’ADN présente dans le gel d'agarose. Ici, la chromatine a été fragmentée par des ultrasons. Dans les cellules, l’ADN est empaqueté grâce à des protéines (notamment les histones), ce qui constitue la chromatine. Les fragments vont ensuite permettre de capturer des protéines spécifiques interagissant avec leurs régions d…

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Visualisation de la migration de fragments d’ADN sous lumière ultraviolette (UV)
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Préparation de billes magnétiques sur aimants pour la technique d’immunoprécipitation de la chromatine (ChIP). Cette méthode permet l'étude des protéines interagissant avec un fragment précis d'ADN. Au cours de cette manipulation, les protéines d’intérêt, qui sont liées à leurs régions d’ADN cibles, sont capturées grâce à des anticorps couplés à des billes magnétiques. Après séquençage, cela permet de déterminer les régions du génome humain qui sont ciblées par les protéines régulant l…

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Préparation de billes magnétiques sur aimants pour la technique d’immunoprécipitation de la chromatine
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Préparation de billes magnétiques sur aimants pour la technique d’immunoprécipitation de la chromatine (ChIP). Cette méthode permet l'étude des protéines interagissant avec un fragment précis d'ADN. Au cours de cette manipulation, les protéines d’intérêt, qui sont liées à leurs régions d’ADN cibles, sont capturées grâce à des anticorps couplés à des billes magnétiques. Après séquençage, cela permet de déterminer les régions du génome humain qui sont ciblées par les protéines régulant l…

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Préparation de billes magnétiques sur aimants pour la technique d’immunoprécipitation de la chromatine
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Préparation de billes magnétiques sur aimants pour la technique d’immunoprécipitation de la chromatine (ChIP). Cette méthode permet l'étude des protéines interagissant avec un fragment précis d'ADN. Au cours de cette manipulation, les protéines d’intérêt, qui sont liées à leurs régions d’ADN cibles, sont capturées grâce à des anticorps couplés à des billes magnétiques. Après séquençage, cela permet de déterminer les régions du génome humain qui sont ciblées par les protéines régulant l…

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Préparation de billes magnétiques sur aimants pour la technique d’immunoprécipitation de la chromatine
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Discussion concernant la partie bio-informatique du projet MecEpi. L’objectif de ce projet est de mieux comprendre les adaptations et les réponses des cellules souches mésenchymateuses et fibroblastes humains aux stress mécaniques. Après une phase de séquençage, les données sont analysées. Les régions du génome humain qui sont ciblées par les protéines régulant l’expression des gènes sont déterminées. Les scientifiques comparent les échantillons résultant de différentes conditions de culture …

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Discussion concernant la partie bio-informatique du projet MecEpi
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Discussion sur les résultats et avancées du projet MecEpi. L’objectif de ce projet est de mieux comprendre les adaptations et les réponses des cellules souches mésenchymateuses et fibroblastes humains aux stress mécaniques. Ainsi, les scientifiques sont parvenus à définir les gènes dont l’expression varie en fonction des conditions mécaniques (conditions de culture sur gel souple ou rigide). Grâce à des outils de génomique, ils ont pu caractériser les modifications de l’organisation 3D du…

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Discussion sur les résultats et avancées du projet MecEpi

CNRS Images,

Nous mettons en images les recherches scientifiques pour contribuer à une meilleure compréhension du monde, éveiller la curiosité et susciter l'émerveillement de tous.