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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

Photo
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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut…

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Détail d'une ophiure gorgonocéphale, sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Ophiure gorgonocéphale, "Gorgonocephalus arcticus", que l'on appelle aussi ophiure panier, sur les tombants de la Basse du Colombier, dans l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Sa présence est un bon indicateur de la biodiversité. Les ramifications des bras de cette ophiure lui servent à capturer ses proies, majoritairement du zooplancton. Lorsque que ces dernières sont en quantité suffisante, les bras s’enroulent successivement pour les ramener vers sa bouche. Ce phénomène peut être observé…

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Ophiure gorgonocéphale sur les tombants de la Basse du Colombier, Saint-Pierre-et-Miquelon
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Gorgone "Paramuricea clavata" sur la Katchoff, un plateau situé dans la rade nord de Marseille, à 60 mètres de profondeur. On y rencontre de nombreuses gorgones mais aussi des bancs de poissons. C'est l'un des sites stratégiques de la rade où les scientifiques installent des balises permettant d'enregistrer le passage de poissons marqués à l'aide d'implants acoustiques. Malgré la fréquentation de la zone pour la pêche de loisir, cette gorgone, implantée suffisamment profondément pour ne pas…

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Gorgone "Paramuricea clavata" à 60 mètres de profondeur, rade nord de Marseille
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Plus d'un an après sa mise à l'eau, BathyBot vient de s'éveiller au fond de la mer Méditerranée. Plongez aux côtés de ce robot téléopéré depuis la surface, le premier à être installé de façon permanente à 2400 mètres de profondeur pour au moins cinq ans. Accompagné d'un récif artificiel et d'une batterie d'instruments, BathyBot permettra d'étudier la biodiversité, la bioluminescence et les processus biogéochimiques des fonds marins. Imaginé…

Vidéo
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BathyBot, le robot des profondeurs
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Vue d’artiste de protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans le gisement gabonais de Moulendé par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une…

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Protistes eucaryotes qui vivaient dans l’eau de mer il y a 2,1 milliards d’années
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Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
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Fossile de protiste eucaryote encastré dans la roche hôte de schiste noir du gisement gabonais de Moulendé. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes y ont été découverts par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote de 2,1 milliards d'années, gisement de Moulendé, Gabon
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Fossile de protiste eucaryote du gisement gabonais de Moulendé, vu en micro-tomographie à rayons X. Les plus vieux fossiles de protistes eucaryotes ont été découverts dans ce gisement par une équipe internationale coordonnée par Abderrazak El Albani de l’Institut de chimie des milieux et matériaux de Poitiers (IC2MP). Ces protistes eucaryotes âgés de 2,1 milliards d’années sont des organismes macroscopiques, mesurant jusqu’à 4,5 cm, de forme lenticulaire et pourvus d’une cavité segmentée en…

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Fossile de protiste eucaryote du gisement de Moulendé, Gabon, micro-tomographie à rayons X
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Langouste rouge, "Palinurus elephas", juvénile âgée de 11 mois issue de la reproduction contrôlée et élevée à la plateforme de recherches marines Stella Mare. L'espèce, que l'on rencontre principalement en mer Méditerranée et dans le nord-est de l'océan Atlantique, est considérée comme vulnérable sur la liste rouge des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN). Forte de plus de 10 ans d’expérience sur la maîtrise de la reproduction d’espèces vulnérables…

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Langouste rouge juvénile issue de la reproduction contrôlée et élevée à Stella Mare
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Claire Hellio développe des solutions innovantes bio inspirées, à partir de molécules actives produites par les algues et les microorganismes. Mené au Laboratoire des sciences de l'environnement marin, ce travail de valorisation, à l'interface entre la chimie, la biologie, la biochimie et l'écologie, est notamment réalisé via la plateforme de bioprospection Biodimar, que Claire Hellio dirige. Les applications visent principalement les domaines des cosmétiques (antioxydants et…

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Médaille de l'Innovation 2023 : Claire Hellio, chercheuse en biotechnologies marines
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Léonard de Vinci disait à ses élèves : « Va prendre tes leçons dans la nature, c'est là qu'est ton futur ! ». Les cônes sont des mollusques présents dans tous les océans. Une de leurs particularités est la production d'un venin qui paralyse leurs proies. Cette substance intéresse les chercheurs car elle ouvre la voie à de nouvelles applications thérapeutiques, notamment dans le domaine des anti-douleurs plus efficaces.

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Venins guérisseurs de l'océan (Les)
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Les ostracodes sont de microscopiques crustacés, pour la plupart pas plus grands qu’un grain de sable. Ce spécimen de "Havanardia societatis" provient d’un lagon de Polynésie française et possède des valves pourvues d’impressionnantes extensions latérales qui rendent cette espèce unique. Il fait partie d’une grande famille qui peuple les milieux marins, des zones littorales aux abysses, depuis près de 500 millions d’années. Fragile mais résiliente, elle a survécu aux cinq grandes crises…

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Nage en eaux troubles
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Une équipe de chercheurs embarque chaque année à bord du Marion Dufresne pour étudier des animaux peu connus : le macrozooplancton et le micronecton. Ces organismes de milieu de chaine alimentaire se composent de gélatineux, de crustacés et de poissons. Mais pour les étudier, il faut d'abord les repérer en pleine mer grâce à un instrument acoustique, un écho sondeur. Puis ils sont pêchés, triés par espèces et comptés. En les suivant d'année en année, les scientifiques peuvent mieux comprendre l…

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Pêcheurs de zooplanctons et micronectons
20220103_0004
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Isopode "Idotea balthica" fortement agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis". Ce petit crustacé utilise les algues rouges pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à…

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Isopode "Idotea balthica" agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis"
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Isopode "Idotea balthica" fortement agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis". Ce petit crustacé utilise les algues rouges pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à…

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Isopode "Idotea balthica" agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis"
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Isopode "Idotea balthica" fortement agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis". Ce petit crustacé utilise les algues rouges pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à…

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Isopode "Idotea balthica" agrippé à une algue rouge "Gracilaria gracilis"
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Isopode "Idotea balthica" broutant les algues vertes épiphytes poussant à la surface d'une algue rouge "Gracilaria gracilis". L’interaction entre ce petit crustacé marin et l'algue rouge pourrait être à bénéfices réciproques : en se nourrissant des épiphytes, il nettoie l’algue et favorise la fécondation en transportant les gamètes mâles collés à ses pattes d’une algue mâle vers une femelle, de la même manière que certains insectes pollinisent les plantes à fleurs. Ce type d’interaction entre…

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Isopode "Idotea balthica" broutant des algues épiphytes sur une algue rouge "Gracilaria gracilis"
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Distribution des gamètes de l'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur le corps d'un jeune spécimen d'idotée, "Idotea balthica", vue en microscopie confocale. Ce petit crustacé marin utilise les gracilaires pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues…

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Distribution des gamètes d'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une idotée
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Accumulation des gamètes de l'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une des pattes (péréopode) d'une jeune idotée, vue en microscopie confocale. Ce petit crustacé marin utilise les gracilaires pour s'abriter et se nourrit des microalgues qui poussent à leur surface. Des scientifiques de la Station biologique de Roscoff ont démontré qu'il facilite également leur fécondation. Les gamètes mâles libérés par les gracilaires adhèrent aux pattes des idotées qui les déposent sur les algues femelles,…

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Accumulation de gamètes d'algue rouge "Gracilaria gracilis" sur une idotée, microscopie confocale
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Corb, "Sciaena umbra", présentant un élastomère de marquage, relâché dans le port de Saint-Florent, en Haute-Corse. Cet individu provient d'un lot élevé en laboratoire par la plateforme Stella mare et relâché en mer à des fins de restauration écologique. Le marquage qui fluoresce sous lumière UV permet de distinguer, lors des suivis en plongée, ces individus de ceux issus des pontes du milieu. La plateforme Stella mare est dédiée à l’ingénierie écologique marine et littorale. Elle réunit…

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Corb relâché dans le port de Saint-Florent, en Haute-Corse, par Stella mare
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Araignées de mer, "Maja squinado", à Stella Mare. De gauche à droite, un individu d'un mois et demi et deux individus d'un an issus de l’écloserie du laboratoire, ainsi qu'un adulte géniteur prélevé en milieu naturel. La disparité de taille observée pour les deux individus d’un an peut venir de différences génétiques ou être liée à l'environnement et l'alimentation durant le grossissement. Les recherches menées par les équipes de la plateforme Stella mare ont permis de maîtriser le cycle…

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Araignées de mer issues de l’écloserie et adulte géniteur à Stella Mare
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Fondée il y a tout juste 150 ans, le 20 août 1872, la Station biologique de Roscoff fait toujours référence pour l'étude de la vie marine. Pour preuve, cette découverte majeure publiée fin juillet à la une de la revue Science : les scientifiques ont montré qu'un petit crustacé, l'idotée, pouvait aider à la reproduction des algues, à l'image des abeilles qui pollinisent les fleurs. Cap sur la Bretagne pour découvrir les coulisses de ces travaux fascinants.

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Algues : comment font-elles des bébés ?
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Gorgone rouge, "Paramuricea clavata", en train de mourir, à l’instar de 90 % des individus entre 10 m et 30 m de profondeur dans le Parc national des Calanques, en Provence-Alpes-Côte d'Azur. L’urgence climatique ne concerne pas uniquement les milieux terrestres. La canicule marine de l'été 2022 a été la plus longue et la plus intense jamais enregistrée, avec un différentiel de 4 à 5 °C au-dessus de la normale. Les forêts terrestres, proies de méga-feux, ne sont pas les seules victimes du…

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Quand la canicule brûle aussi nos forêts sous-marines
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Portrait de Richard Dorrell, médaille de bronze 2022 du CNRS, chargé de recherche à l'Institut de biologie de l'École normale supérieure, spécialiste de l'évolution des microalgues des océans et de leur acquisition de la photosynthèse. Pour Richard Dorrell, l'évolution la plus importante de l'histoire des formes de vie eucaryotes est l'acquisition de chloroplastes par endosymbiose des cellules primitives, pour obtenir les premières microalgues capables de photosynthèse. Il en a…

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Médaille de bronze 2022 : Richard Dorrell, génétique des microalgues
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Pour toute exploitation commerciale contacter le producteur délégué

Mieux comprendre la physique, la chimie et la biologie des océans, et ainsi mieux prévoir leurs effets sur l'évolution du climat, c'est l'objet du réseau scientifique mondial de flotteurs profileurs Argo. Des plateformes autonomes qui parcourent les profondeurs aquatiques à la rencontre des courants et du petit peuple océanique. Dernier-né de cette flotte, un petit bijou de technologie, le flotteur profileur BGC-Argo (nKe), spécialement équipé pour étudier le plancton. Découverte avec l'équipe…

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Sonder les océans
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Le navire océanographique Pourquoi pas ? au port de Toulon. Le Pourquoi pas ? est un navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer, utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif…

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Le N/O Pourquoi pas ? au port de Toulon
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Le navire océanographique Pourquoi pas ? au port de Toulon. Le Pourquoi pas ? est un navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer, utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif…

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Le N/O Pourquoi pas ? au port de Toulon
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Le navire océanographique Pourquoi pas ? au port de Toulon. Le Pourquoi pas ? est un navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer, utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif…

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Le N/O Pourquoi pas ? au port de Toulon
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BathyBot sur le pont arrière du navire océanographique Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, où il récolte des données environnementales …

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BathyBot sur le pont arrière du N/O Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau
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BathyBot sur le pont arrière du navire océanographique Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau. Le rover sous-marin benthique BathyBot est un robot d’exploration téléopéré via Internet, dédié au suivi sur le long terme de l’environnement, l’écologie et des potentiels impacts du changement climatique dans les grands fonds. Il est installé en permanence sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, où il récolte des données environnementales …

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BathyBot sur le pont arrière du N/O Pourquoi pas ? avant sa mise à l’eau
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Timonerie du navire océanographique Pourquoi pas ? Ce navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer est utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le…

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Timonerie du N/O Pourquoi pas ?
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Pont avant du navire océanographique Pourquoi pas ? Ce navire de la flotte océanographique opérée par l’Ifremer est utilisé lors de campagnes dans tous les domaines des sciences de l’environnement. Cette image a été réalisée durant la campagne d’installation de plusieurs instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon : un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel bio-inspiré) et le…

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Pont avant du N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique (BJS) depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Au premier plan, BathyReef, un récif artificiel bio-inspiré pour étudier les écosystèmes des milieux profonds, attend sa mise à l’eau. La BJS est une boîte connectée à haut débit qui alimente et permet de surveiller les instruments qui y sont connectés. Elle est installée sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur, au large de Toulon, avec un sismographe, un…

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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique (BJS) depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? Au premier plan, BathyReef, un récif artificiel bio-inspiré pour étudier les écosystèmes des milieux profonds, attend sa mise à l’eau. La BJS est une boîte connectée à haut débit qui alimente et permet de surveiller les instruments qui y sont connectés. Elle est installée sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur, au large de Toulon, avec un sismographe, un…

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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique (BJS) depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? La BJS est une boîte connectée à haut débit qui alimente et permet de surveiller les instruments qui y sont connectés. Elle est installée sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur, au large de Toulon, avec un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel bioinspiré) et le robot BathyBot. Ce rover sous-marin benthique…

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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique (BJS) depuis le navire océanographique Pourquoi pas ? La BJS est une boîte connectée à haut débit qui alimente et permet de surveiller les instruments qui y sont connectés. Elle est installée sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur, au large de Toulon, avec un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le BathyReef (un récif artificiel bioinspiré) et le robot BathyBot. Ce rover sous-marin benthique…

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Mise à l’eau de la boîte de jonction scientifique depuis le N/O Pourquoi pas ?
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Le Nautile dans un hangar du navire océanographique Pourquoi pas ? vu depuis le pont arrière. Ce sous-marin habité a été conçu par l'Ifremer pour l’observation et l’intervention jusqu’à 6 000 mètres. Il accompagne les opérations d’installation d’instruments scientifiques sur le site de l’observatoire sous-marin EMSO-LO, à 2 500 m de profondeur au large de Toulon, afin de s’assurer de leur bon déroulement. Ces équipements comprennent un sismographe, un spectromètre gamma, une biocaméra, le…

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Le Nautile dans un hangar du N/O Pourquoi pas ?

CNRS Images,

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