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Le grand électro-aimant a été construit pour l'Académie des Sciences, d'après les plans dressés par le professeur Cotton et M. Mabboux, grâce aux fonds provenant de la souscription Nationale de la Journée Pasteur. Après les phases d'usinage effectuées dans les ateliers de Saint-Ouen de la Cie Française Thomson-Houston, l'électro-aimant d'un poids de 120 tonnes a été installé à l'Office National des Recherches scientifiques et Industrielles et des Inventions, à Bellevue.

En juin 1928, Jules-Louis Breton et des personnalités du Ministère de l'Agriculture, des Colonies, du Commerce, de l'Instruction Publique et de l'Automobile Club de France inaugurent l'exposition forestière organisée dans la forêt domaniale de Versailles. Cette exposition qui se termine en juillet, est l'occasion d'un concours de carbonisation de bois, d'exploitation mécanique des bois, de gazogènes, de combustibles pour gazogènes et usages domestiques.

Aménagée par les ateliers de l'ONRSI, la péniche-aquarium est remorquée jusqu'à Paris le 17 juillet 1925 et amarée au quai d'Orsay, entre le pont de la Concorde et le pont Alexandre III. Présentée lors de l'exposition des arts décoratifs, la péniche est inaugurée le 22 juillet en présence du ministre de l'agriculture, Jean Durand, accompagné par Jules-Louis Breton et M. Loucheur, respectivement directeur et président de l'ONRSI. Les visiteurs entrent et sortent de la péniche, puis passent sous…

Du 18 juin au 3 juillet 1925, plusieurs types de fours à carbonisation sont présentés au concours organisé dans la forêt de Sénart. Jean Durand, ministre de l'agriculture et Jules-Louis Breton, directeur de l'ONRSI, visitent les installations.

A l'Office National des Recherches et inventions, messieurs Herriot et Peytral assistent aux essais d'engins de terrassement électriques puis au départ des voitures électriques qui participent au concours de 1924.

Dans un camp militaire, la Commission supérieure des inventions observe le 2ème prototype anti-barbelé conçu par M. Boirault. Toujours constitué d'un véhicule central motorisé, l'engin est cette fois entouré de cadres plus resserrés sur l'habitacle. Dans un premier temps on assiste à une démonstration de l'engin, puis dans un second temps on accroche à l'engin un plan incliné permettant à un char de monter dessus.

Le 18 mai 1918, à Saleux, le char d'assaut allemand Elfried est présenté à Jules-Louis Breton, sous-secrétaire d'Etat aux Inventions. Des officiers et des soldats britanniques sont également présents. Entre le 1er et le 5 juillet 1918, à Bourron, des essais de tirs sont effectués sur Elfried pour vérifier l'efficacité du canon de 37 mm.

La Commission supérieure de la Direction des Inventions étudie l'appareil acoustique de Jean Perrin, ou télésitemètre, devant permettre à l'armée française de repérer précisément les positions ennemies par le son. Le dispositif est composé de plusieurs capteurs reliés par des bras métalliques articulés. Son mouvement et sa structure évoquent ceux d'un manège tandis que sa nacelle rotative, actionnée par des opérateurs, renvoie au principe du tourniquet. Dans ces images de mars 1918,…

Installés dans une barque, les membres de la Commission supérieure de la Direction des Inventions testent la motrice amovible motogodille conçue par Gabriel Trouche. Ce moteur permet la transformation instantanée de canots ordinaires en auto-canots. Il se pose et s'enlève comme un aviron, propulse et gouverne. Soumis à l'autorité militaire, il doit équiper les barges en fer de la flottille marine du lac de Prespa entre 1917 et 1918.

Des soldats, des officiers, des civils et Jules-Louis Breton, membres de la Commission de la Direction des inventions, assistent à la présentation puis à une séquence de tirs d'un canon muni d'un affût de 75 m/m.

Dans un champ, la Commission supérieure de la Direction des Inventions fait exploser un obus puis des caisses de munitions à côté d'une cabane en pierres.

La Commission Supérieure de la Direction des Inventions, dont Jules-Louis Breton, observent les démonstrations du char Schneider et de différents types de canons et de pièces d'artillerie lourde.

La Commission Supérieure des Inventions teste un engin manipulé du haut d'une falaise dont l'utilisation produit de la fumée observée par Jules-Louis Breton et un officier en contrebas.

Jules-Louis Breton et les membres de la Commission Supérieure de la Direction des inventions assistent aux essais de deux charrues. Le premier essai montre une charrue tractée par un char Saint-Chamond. Le second essai montre un char Saint-Chamond dont l'avant a été modifié pour intégrer deux systèmes de charrues. On observe d'abord le fonctionnement des mécanismes puis leur mise en oeuvre sur le terrain.

Accompagné d'une délégation de civils et d'un militaire, Jules-Louis Breton visite les laboratoires cinématographiques de Pathé à Vincennes. Le groupe pose sur un balcon pour la caméra, avec Charles Pathé.

A La Seyne-sur-Mer, en 1917, des membres de la section technique de l'Artillerie d'assaut de la Direction des Inventions assistent aux essais du prototype de char FCM 1A en terrain difficile. Jules-Louis Breton visite les aménagements intérieurs du char qui franchit ensuite divers obstacles : tranchées, rondins de bois, passage de trous d'obus. L'engin exécute également un demi-tour.

A La Seyne-sur-Mer, en 1917, des membres de la section technique de l'Artillerie d'assaut de la Direction des Inventions assistent aux essais du prototype de char FCM 1A en terrain facile. L'engin se rend ensuite sur la plage des Sablettes où il exécute des essais de tirs au canon. Pour finir, il se dirige vers une forêt de taillis qu'il traverse sans difficulté.

Un char d'assaut Schneider évolue en terrain accidenté puis dans une forêt, écrasant quelques arbres. A la fin du parcours des soldats s'installent joyeusement sur le tank. Le film est suivi qu'une séquence où le sous-secrétaire d'Etat des Inventions Jules-Louis Breton, pose pour la caméra dans l'un des laboratoires situé à Meudon.

La Commission supérieure de la Direction des Inventions étudie les différents moyens de transporter des obus sur des terrains difficiles et dans diverses conditions climatiques. Cela va du transport manuel à la traction animale (chiens, chevaux), ainsi qu'à l'utilisation de plusieurs types d'appareil de traction manuelle comme le Porteur Lachat. Un véhicule de transport à chenilles est également mis à l'épreuve sur le terrain.

Dans un camp militaire, la Commission supérieure de la Direction des Inventions et des officiers assistent à des essais d'explosion. Pour finir, un lance obus est testé.

Deux types de chenilles amovibles Delahaye sont montés sur des camions militaires, puis testés sur différents terrains difficiles.

La commission supérieure de la Direction des Inventions assiste à une démonstration du tank Ford. Jules-Louis Breton a l'occasion de tester le confort intérieur puis le tank évolue en terrain accidenté afin que la commission puisse l'évaluer.

La Commission supérieure de la Direction des Inventions observe un char d'assaut Renault muni d'un canon de 75 m/m, évoluant sur un terrain difficile. Jules-Louis Breton a l'occasion de s'asseoir sur le char, aux côtés d'un soldat chargé de régler le canon.

La Commission supérieure des Inventions, présidée par Jules-Louis Breton, teste la solidité des casques en manganèse conçus par le docteur Pollack.

Sous le regard attentif et amusé des membres de la Commission supérieure de la Direction des Inventions installés dans une barque, un homme teste l'efficacité d'un costume insubmersible dans un étang. Soumis à l'autorité militaire ce vêtement doit permettre aux soldats de traverser un cours d'eau et d'en sortir sec.

A bord d'un voilier en rade de Toulon, la Direction des Inventions exécute des expériences d'écoute sous-marine sous la direction de Jean Perrin. Jean Perrin développa plusieurs dispositifs de détection sonore dont certains modèles destinés au repérage des mines, et d'autres dédiés à l'écoute sous-marine. Ces dispositifs ressemblent à des stéthoscopes géants. Ils sont en réalité adaptés à la détection des sons souterrains, tels ceux des galeries de mines. Jean Perrin commença ses…

Un scientifique fait des essais de tir de fusée parachute dans un champ. Le mécanisme du canon Delamormaz est ensuite observé par des officiers et Jules-Louis Breton

Jules-Louis Breton et les membres de la section des Etudes et des Expériences Techniques de la Direction des inventions assistent aux essais de lance-flammes dans un champ et dans une tranchée.

Dans un champ, des soldats, des officiers, des civils et Jules-Louis Breton, membres de la Commission de la Direction des inventions, étudient différents types de mitrailleuses conçues pour tirer contre des tanks.

Dans un champ, des soldats, des officiers, des civils et Jules-Louis Breton, membres de la Commission de la Direction des inventions, étudient la maniabilité des équipements militaires servant au transport des munitions.